Des détournements, des idioties, de la gribouille, des petits poneys, du rire, du consternant, des pigeons, surtout du consternant en fait, bref que des choses totalement palpitantes...

samedi 28 décembre 2013

Chaque année, le drame des cadeaux de Noël...


Ca va faire 30 ans que je réclame un poney et un tour de potier à Noël, et c'est encore raté. (à force d'insister et de provoquer mes parents, je vais me retrouver un jour avec un vrai poney dans mon appartement et là j'aurais l'air bête).

J'espère que vous avez passé un joyeux Noël plein de dinde, de foie gras, d'indigestion et de tout ce qui va avec, et je vous souhaite aussi une bonne année par la même occasion, ô lecteurs fidèles.

lundi 2 décembre 2013

Gare de Massy-Palaiseau, RER B, quai bondé, un soir comme un autre...

"MESDAMES, MESSIEURS, suite à un problème de signalisation / une alerte sécurité / des conditions climatiques défavorables / des difficultés de circulation / des problèmes de régulation du trafic/ des retards et des suppressions sont à prévoir sur la ligne du RER B dans les deux sens. La RATP s'excuse pour la gêne occasionnée et vous remercie de votre compréhension."



... Je ne sais pas si ça se sent, mais je ressens parfois une certaine lassitude vis à vis des transports parisiens...


Cette oeuvre palpitante a été établie grâce à une suggestion de ma collègue et amie Manu, à qui je dédicace tout spécialement cette création, pour les attentes de nos trains dans le froid, la lassitude, et dieu merci parfois la bonne humeur (hystérique) que nous partageons dans ces moments-là . :D

mercredi 23 octobre 2013

Le miracle de l'année

Cher public, aujourd'hui au travail il est arrivé un truc juste incroyable.

Je vous explique. Vous savez que je travaille dans une agence de communication. Ca implique donc des clients, qui ont des opinions et des avis. C'est leur droit, bien entendu. Des fois c'est bien. Des fois, ils me demandent des choses tellement aberrantes et qui vont juste être tellement moches que j'ai un peu envie de me jeter par la fenêtre (mais vu qu'il y a du gravier à 80cm en dessous du montant de ladite fenêtre, je m'abstiens parce que tout ce que je vais y gagner c'est me râper les genoux).

Bref. J'étais dans cette situation. Déjà, des trois options proposées, le client avait choisi celle que j'aimais moins mais que j'ai faite quand même parce que je savais que ça lui plairait (quel sens du sacrifice). Après il voulait rajouter ceci, cela, et aussi un peu à droite et en dessous pour voir, avec du bleu parce que c'est la couleur préférée de ma secrétaire. De "pas transcendant mais potable" on était passé à "de honte d'avoir obéi et pondu ça, je vais me tailler les veines avec le stylet de la tablette graphique".

Ce matin, le client a regardé le résultat. Là il a constaté l'évidence absolue : "Ha mais c'est vraiment pas terrible en fait, là... Ca fonctionne pas cette idée... ".
Donc moi, j'étais en mode ricanant comme ça :



QUAND SOUDAIN il a dit : 

"Vous aviez raison, ça marche pas. On enlève mes modifications, ce sera mieux". 


D'abord je suis restée la bouche ouverte et l'air un peu idiot. Après c'est monté au cerveau. Et là d'un coup j'ai bondi de ma chaise en poussant un hurlement de triomphe pur, après j'ai sauté partout et rebondi contre les murs, et après je suis tombée dans les pommes tellement c'était trop d'émotions. 





Dieu existe et la preuve c'est qu'il vient de faire un miracle pour moi : mon client a admis qu'il s'était trompé, et il est revenu sur son erreur. Croyez-moi, ça n'arrivera pas deux fois dans ma vie de créative. 

lundi 9 septembre 2013

Pour la rentrée, échange d'amabilités



Chers amis, après des vacances bien méritées et particulièrement improductives, nous voici tous de retour sur le chemin du travail. Je diras bien "dans la joie et la bonne humeur", mais ce serait peut-être présomptueux. Pour essayer d'égayer un peu cette période difficile, voici donc que je vous poste une nouvelle leçon de bonnes manières.
Ne me remerciez pas, j'ai reçu une très bonne éducation (le premier parmi mes connaissances qui crie "on dirait pourtant pas!", je proteste la bouche pleine avant de me moucher dans la nappe devant tant de haine).



"Loge im Sofiensaal," de Josef Engelhart, 1903.

mardi 9 juillet 2013

Retard, mouvement social et autres gaudrioles de la SNCF


Ceci est tiré de faits tout à fait réels, rancuniers et vindicatifs. J'assume.

... et encore, j'y ai pas mis le gros monsieur rougeaud qui beugle "ha bah pour aller à Auschwitz en 40 y avait du monde, hein, mais là plus personne, sales communistes!" (je vous jure que je n'invente rien)(la RATP et le RER me rendent dingue, mais pas à ce point là quand même)(quoi que ça ne saurait tarder). Après tout le monde devait descendre du train qui n'allait pas plus loin, et il a tiré le signal d'alarme en ajoutant "tiens, voilà pour ces petits cons, ils repartiront pas de sitôt tirer au flanc!"
S'il n'y avait pas eu 284 personnes entassées entre lui et moi, je crois que je l'aurais mordu en visant la jugulaire. Ou plutôt je l'aurais enfermé dans la cabine du conducteur pour qu'ils s'entre-tuent. Parce que des fois il faut aider le darwinisme à faire son œuvre et... QUI A DIT "GROSSE AIGRIE" DANS LE PUBLIC?


"En écoutant Beethoven" de Lionello Balistrieri,
 Médaille d'or de l'Exposition Universelle de Paris en 1900, Musée de Turin

mercredi 13 mars 2013

Oui bah quand il neige il faut bien s'occuper...

Gabriel de Cool, "La Muse", 1895
Voilà voilà, il a neigé à Paris à peu près 10cm donc comme d'habitude c'est l'apocalypse, à tel point que je suis restée chez moi pour travailler à la maison, mon patronnat ayant conclu qu'il était peu rentable que je passe 3h à arriver au bureau et que j'en reparte tôt pour pas y passer la nuit.

Comme tout le monde, y compris mes clients, en a fait autant (ou alors ils sont encore coincés sur la route, dans un RER bloqué, et les loups ont dévoré depuis longtemps leur mollet congelés), ben je m'embête un peu au final. Je crois que je vais aller faire une pyramide avec les Miel Pops, tiens...

Et vous, quel avant-goût de la fin du monde a été déclenché dans votre secteur, si vous avez eu de la neige?

mercredi 6 mars 2013

Le travail de graphiste, une journée ordinaire tarif maison des fous

Francisco de Goya, "Le sabbat des sorcières", 1820, Madrid, Musée du Prado 

Des fois j'aime bien mon métier. Et puis des fois, certains clients se lâchent avec une extraordinaire coordination, te harcèlent toute la journée (ça peut durer aussi plus longtemps sur un gros projet), et souvent ils s'arrangent pour aller de façon croisée et exponentielle dans l'emmerdement, tous en même temps, comme s'ils s'ingéniaient à te faire péter un boulon.

Ma théorie, c'est qu'ils font un concours collectif pour voir à quel moment je vais convulser sur la moquette du bureau, en bavant de rage et en hurlant des insanités qui feraient rougir jusqu'au blanc des yeux un régiment de légionnaires.

Comme je suis bien élevée et commercialement optimisée, je suis toujours charmante au 2837ème appel de la journée et je leur promets que pas du tout, ça ne m'embête pas, je vais faire cette 2837ème petite modification et je leur envoie ça aussi vite que possible.

Comme je suis un être humain normal, dès que j'ai raccroché je beugle que ce sont des connards laqués et qu'ils aillent tous se faire empapaouter par des cactus frottés au pili pili. (pardon Maman)(mais ils l'ont bien cherché).

lundi 4 mars 2013

Un jour, ma collègue s'est plantée devant mon bureau pour me dire subitement :

Jacob Heinrich Füssli (1741-1825). Lady Macbeth somnambule. Huile sur toile, 1781-1784.

Après quoi, sans attendre de réponse à cette question hautement mystique (oui à ce stade, je trouve ça mystique), elle a fait demi-tour et est retournée à ses occupations.

Ca m'a fait réfléchir pendant des mois : quel était le sens de cette question ? Pourquoi me l'avoir posée? Fait-elle souvent des feux avec des bananes, chez elle, le dimanche ?

Après avoir abondement ricané, mes amis et moi avons conclu que les bananes, elle les fumait et que ça expliquait bien des choses.

....

Bon, n'empêche, des fois je me demande si j'attire les collègues et les clients complétement jetés, ou si c'est juste que je les remarque plus bruyamment que tout le monde. Je sais que vous avez sûrement des collègues complétement jetés (à vos anecdotes, lecteurs prolifiques!), c'est juste que j'ai souvent l'impression d'avoir récolté le dessus du panier. Ou le dessous, question de point de vue.

dimanche 24 février 2013

L'exhibitionnisme doit finir.



Comme quoi tout est relatif et tout dépend du point de vue. Moi, perso, je trouve qu'en ce moment il fait beaucoup trop froid pour se ballader les fesses à l'air, même si c'est très mythologique.

vendredi 15 février 2013

Mon petit client - Acte 1 : le Power point qui fait mal

Cher lectorat,

Figure-toi qu'à peine avais-je annoncé avec tambour et trompettes l'ouverture de ce summum de cocasserie que représentera la rubrique "Mon petit client" que lesdits clients, toujours serviables, se sont empressés de fournir de l'eau à mon moulin. Ils ont fait très fort pour nos débuts, je pense que je devrais avoir une pensée émue pour l'ingénu qui a fourni le sujet du jour. (quoi que sur le coup j'avais plutôt envie de lui dire ma façon de penser sur son travail, sa mère et toutes ses aïeules de façon assez discourtoise).

Allez allez on passe au vif du sujet, je sens que vous trépignez d'impatience, chenapans.

Donc, ça fait des semaines que je bosse sur une publicité pour la grande distribution, un truc assez chiadé où on m'a fait changé mille fois la couleur, la teinte là, la typo ici, etc etc etc. Normal jusque là. On est presque bon, on a presque tout fini. Je reçois alors un mail tout à fait charmant disant en gros ceci :


 Naïvement je me réjouissais d'avoir juste de dernières petites remarques (mon incurable optimisme professionnel me perdra). Quelle ne fut pas ma surprise, ouvrant le document power point en pièce jointe à ce mail délicieux, de tomber sur ça :
























Je vous jure que je n'invente même pas. Ni le rouge majuscule bien agressif partout, ni les smileys qui font la gueule parce qu'il y a une faute de frappe dans un nom propre que le client a fourni, ni le qualificatif de bof sur le visuel qu'il a choisi lui-même. 

Allez savoir pourquoi, la fumée m'est sortie par les oreilles à cet instant précis, pour la plus grande joie de mes collègues fascinés par ce phénomène peu commun.

Merci mon petit client.

mardi 12 février 2013

Mon petit client, ouverture.

Chers lecteurs,

vous l'ignorez peut-être pour certain mais dans la vraie vie je travaille dans le monde merveilleux de la communication visuelle. D'après mes amis, ça veut surtout dire que je suis payée à coller des gommettes et dessiner avec mes mains. Je ne commenterai pas cette affirmation un peu rapide (après tout, j'ai des amis qui sont payés à faire des power point avec des tas de chiffres qui ne veulent probablement rien dire, d'autres qui se disent ingénieurs mais j'ai toujours pas compris en quoi (je soupçonne une vaste fumisterie).

Non, en fait, l'intéressant dans cette histoire, c'est que j'ai des clients.
Hors, figurez-vous que le drame, c'est que mes clients ont des opinions. Voire des idées lumineuses.
En tous cas, il savent mieux que tout le monde ce qui serait bien. Ca se termine généralement par des autruches vertes en tutu violet qui font des claquettes en bas du document, pendant que je pleure à chaudes larmes dans mon coin.

Donc parfois, je vais geindre sur Facebook auprès de mes amis sur mon sort de créative frustrée par la mauvais goût et la mauvaise foi de certains. Après mes amis se tordent de rire (bande d'enfoirés). Après un copain a suggéré que je devrais partager ça avec le monde entier, pour son édification et son hilarité perpétuelle.

Tout ça pour dire qu'à partir de maintenant, il y aura ici une rubrique "Mon petit client", sans image mais juste du blabla pour provoquer les rires et quolibets de la foule tout en me déchargeant de mon exaspération hilarante. Voilà.

vendredi 1 février 2013

Ok c'est l'arnarque mais pour une fois...

Bon désolée je sais que vous allez hurler de désespoir quand vous verrez que ce message est un faux message sans image à regarder. J'ai pas trop eu l'inspiration divine dans mes petits neurones endiablés ces derniers jours (ceci sûrement lié au fait qu'avec un rhume d'enfer je fais une tétralogie musicale pour trompette bouchonnée avec mon nez et mes mouchoirs).

Néanmoins je voulais vous faire partager mon hilarité la plus totale à la lecture de cet article de blog qui m'a fait pleurer de rire, sur les dessins animés de Disney et le sexisme plein de préjugés odieux qui les entourent. J'ai tellement rigolé que je pense que ça vaut le coup que vous alliez faire un tour pour lire ça, je m'en voudrais de le garder pour moi:


De rien.

lundi 21 janvier 2013

Déplace-toi pour voir... Non attends bouge plus... Et là tu m'entends?

Bon j'avais programmé ce message pour mercredi, mais comme le lundi c'est tout pourri, je vous le poste maintenant pour illuminer votre journée au milieu de toute cette neige qui nous casse les pieds (moi j'aime la neige mais à la montagne avec des skis aux pieds. A Paris quand elle devient une grosse gadoue qui met le branque dans tous les transports, ça m'amuse beaucoup moins, allez savoir pourquoi). 



Joseph Decamp, 1858-1923, "La tasse bleue"

Oui par exemple, c'est toujours au moment où on en a besoin que comme par hasard, ça cesse subitement de capter, ou bien la batterie lâche alors que deux minutes avant elle affichait encore 30%.
Du coup moi j'ai toujours un papier dans mon portefeuille avec les numéros de toutes les personnes que je pourrais avoir besoin de joindre. Le gag, c'est pour trouver une cabine téléphonique. Et par un mouvement de l'emmerdement maximal, c'est quand on a besoin d'appeler quelqu'un, qu'on a plus de batterie, et qu'on a quand même prévu le papier avec les numéros qu'il n'y a pas une seule cabine à des centaines de mètres à la ronde.

PS: je sais pas si vous avez vu, mais maintenant je mets le lien vers la page Wikipédia de l'artiste que j'ai  parodié. Comment vous allez être trop cultivés grâce à moi. En plus d'être mort de rire.
Je vous jure, la Sécu devrait me rembourser de toute la joie et la connaissance que je mets dans vos neurones hilares et stimulés.  

dimanche 20 janvier 2013

Cette fois-ci, c'est allé beaucoup trop loin, monsieur.

Illustrations d'Orest Vereisky pour le roman "Anna Karénine" de Tolstoï          

Chez moi, il y a des trucs avec lesquels on ne rigole pas. Mais vraiment pas. Par exemple, si on tombait en pénurie de saucisson aux noisettes et de Lindt 70% Cacao, je pense que mon père demanderait le divorce. D'ailleurs, si on tombait en pénurie de Nutella, je pense que mon frère divorcerait de toute ma famille aussi.

dimanche 13 janvier 2013

J'en tiens une sévère

La potion d'amour, Evelyn de Morgan
Haaaa l'hiver, la joie des grippes, des gros rhumes qui te cassent pire que si un troupeau d'éléphant avaient fait marathon sur ta petite personne, les crises de toux que tu penses que tu vas finir par cracher un bout de poumon, les concours de reniflements, la croissance exponentielle des mouchoirs en papier qui pulullent soudain partout dans les poches...
Moi la dernière fois que j'ai eu la grippe, c'était l'hiver dernier au Vietnam. Je me suis cogné un tel pic de fièvre que j'en ai eu des hallucinations, histoire de rigoler. Je voyais des chatons courir sur ma couette alors que je savais que le seul chaton de la pièce c'était le mien, et qu'il dormait sur mon ventre. Et vous, c'est quoi vos exploits d'hiver reniflottant grelottant? :D 

PS: je rappelle que j'ai un twitter aussi, je vous le dis parce que j'aime bien mais j'ai pas grand monde en contact dessus. Alors voilà, lectorat chéri, viendez cuicuiter avec moi, ce serait sympa ^^

samedi 12 janvier 2013

Ha, ces doux petits anges...

Juan Leon Palliere (1823-1887, Un intérieur avec des objets japonais

Je sais, je suis vraiment horrible... 
Que les parents qui n'ont jamais été tentés d’assommer pour un moment leur charmante progéniture, histoire d'avoir la paix pendant à peu près cinq minutes, me jettent la première pierre :D

jeudi 10 janvier 2013

Qui ne tente rien n'a rien (ou une claque)

Camille Cabaillot Lassale (1839-1888), L'heure du thé


Oui à l'adolescence, tout ça, on est franchement con con. Je ne sais pas si c'est les hormones, ou bien la boîte cranienne qui pousse sans que les neurones tiennent la cadence de croissance, mais on est pas aidé comme qui dirait. J'imagine tout à fait les neurones en train de bosser comme des dingues, avec un chef neurone à gros cigare qui passe au milieu en braillant avec hystérie "Les gars, on est pas dans les prévisions, on frôle le crash boursier là! Du nerf". Oui. Ça expliquerait les fluctuations intellectuelles de l'adolescence, qui seraient comme les courbes de la bourse (là, ma pote docteur en biologie est en train de rire aux éclats ou de chercher une corde pour se pendre, nos 15 ans de fréquentation et son côté Sheldon Cooper n'ayant rien donné sur mon cas désespéré).

Tout ça pour dire que c'est de bonne guerre, on se dit tous que ça se tente, et que si tous les copains disent à leurs parents "MAIS TOUT LE MONDE Y VAAAAA SAUF MOIIIII", ça pourrait marcher.
Sauf que.
Comme disait ma mère dans un grand rire machiavélique "HAHAHA bien tenté, mais t'oublie toujours que j'ai eu ton âge avant toi!". Généralement ça voulait plutôt dire que c'était mort. Voire qu'on était passé pour un abruti. Bon en même temps, on l'était. (Un jour je vous parlerai des techniques d'éducation sournoise avec lesquelles elle nous roulait dans la farine mes frères et moi. Si j'ai des gosses, je leur ferai pareil!)

lundi 7 janvier 2013

Comme c'est charmant...

Emile Pierre Metmacher, Une jeune beauté traversant un ruisseau devant un chasseur
Amis de la poésie, bonjour et bon lundi! Ah que je suis sympa de vous poster des trucs comme ça histoire de vous mettre dans la joie et la bonne humeur dès le début de la semaine! Sérieux, ne devrait-on pas me canoniser pour vous apporter de la gaieté en ces heures grognonnes, barbouillées de traces de couette abandonnée, pleine de manque de café? Ma bonté me perdra... (ainsi que ma modestie qui est, comme chacun sait, la moindre de mes qualités.)

mardi 1 janvier 2013

Bonne année, tout ça tout ça!

Le Bal Masqué, de Charles Hermans, 1880

Cher lectorat, bonne année, bonne santé, n'abusez pas du foie gras (après on se retrouve avec un étrange mal au cœur dû à tout cet abus de gras et sans le moindre rapport avec un quelconque remontant pétillant un tantinet alcoolisé qu'on a pour habitude de consommer pour les festivités), des bisous chantilly et papillon arc-en-ciel dans vos cœurs, tout ça tout ça! :D